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Babel Rising : Dieu, c’est vous

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N’avez-vous jamais rêvé de jouer à Dieu ? En particulier à celui de l’Ancien Testament, pas très tendre avec les humains ni très miséricordieux. C’est le rôle que vous propose de tenir Babel Rising. Face à des hommes qui veulent construire la fameuse tour de Babel pour venir vous demander des comptes, à vous de leur faire comprendre que vous ne l’entendez pas de cette oreille. Un jeu jouissif qui devrait rapidement devenir un classique tant son concept est simple et efficace.

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Comme le dialogue ne semble pas être le mode de règlement des conflits de l’époque, il va falloir utiliser les grands moyens pour dissuader ces mécréants d’achever leur ouvrage.

Cela tombe bien, vous êtes Dieu et vous disposez de 6 pouvoirs pour éliminer les ouvriers récalcitrants :

  • la foudre
  • le doigt de Dieu
  • le souffle divin
  • le tsunami
  • la pluie de météorites
  • le tremblement de terre

Chaque pouvoir se recharge progressivement pour 3 niveaux de puissance. A vous de les utiliser de façon optimale, sachant que les pouvoirs les plus puissants sont également les plus longs à se régénérer. Et que plus vous attendez, plus vos pouvoirs augmentent. Par exemple, le tsunami peut faire jusqu’à 3 étages de dégâts.

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Plusieurs modes de jeu sont disponibles :

  • Classique : tenir le plus longtemps possible avant que les ouvriers ne parviennent à construire la tour pour accumuler les points.
  • Divinité : même concept que le mode « classique » avec un nouveau pouvoir (le buisson ardent) et des bonus qui apparaissent (pour recharger les pouvoirs par exemple)
  • Furie : un dérivé du mode « divinité » mais face à des diablotins résistants à certains de vos pouvoirs (en fonction de la couleur de leurs habits)
  • Campagne : étape par étape, découragez les humains de construire des tours et améliorer vos pouvoirs (vitesse de chargement, aire d’effet et puissance) au fur et à mesure en fonction de votre score

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Côté jouabilité, l’invocation des différents pouvoirs se fait sans trop de problème. Même si parfois, dans le feu de l’action, on peut déclencher involontairement certaines actions.

La bande son est également de bonne facture, dans le ton humoristique du jeu (le cri des ouvriers emportés par le vent est par exemple très drôle).

Petit défaut : il manque un peu de diversité au niveau des décors. Pour le reste, on est dans le défouloir totalement délirant et addictif. D’autant que le mode « campagne » augmente considérablement la durée de vie du soft. Pour moins d’un euro, n’hésitez pas, cela vaut le détour.

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2 Comments

2 Comments

  1. paloma

    8 mai 2012 at 21 h 30 min

    Méfiez-vous de ce jeu est un jeu de la franc-maçonnerie maligne

  2. Moroccan

    13 juin 2012 at 10 h 48 min

    hahahah ! ce jeu est de l’illuminati regardez (The eye seeing eye)

    Illuminati must be destroyed

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